Слайд 1Le thème du projet:
Le maître du projet: T.A.Aristova
L’éxcursion à travers de
la maison seigneuriale.
Les auteurs du projet:les élèves de 10 classe.
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Цели проекта:
Образовательная:
расширение знаний о жизни М.Лермонтова.
Развивающая:
Закрепление программной лексики по теме,
развитие общеучебных умений(работа со словарем, со справочной литературой).
Практическая:
практика в диалогической, монологи-
ческой ,письменной речи, аудировании.
Воспитательная:
повышение интереса к французскому языку на основе его сопоставления с родным, расширение кругозора учащихся.
Слайд 3Этапы работы над проектом
Подготовительный:
-определение темы;
-определение
источников информации, способов ее сбора и анализа,
- распределение ролей в команде.
Основной :
-определение способа представления результата;
- сбор информации-интервью, опрос; работа со справочной литературой,
- творческая переработка;
- коллективное выполнение проекта.
Заключительный:
–коллективная защита проекта ( обоснование процесса проектирования, объяснения полученных результатов) в форме презентации;
-анализ достижения поставленной цели,
- оценка результатов.
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Nous nous trouvons dans le musée, autrefois ce fut l’ancienne maison
seigneuriale. M. I. Lermontov, le grand poète russe, passa ici les premières années d’enfance. Il était né à Moscou, puis il vécut 13 ans à cette propriété. Il arriva ici pour voir sa grand-mère, quand il était grand. La campagne de Tarkhany appartint à cette femme.
Cette maison est en bois. Elle a deux étages: le rez-de-chaussée et le premier étage avec la mezzanine.
La maison seigneuriale
Слайд 5La chambre №1 .La salle.
A côté du portrait de cette femme
il y eut un portrait de sa seule fille. Ce fut la mère du poète. Elle s’appella Maria Mikhaïlovna,la femme mince et romantique. Marie aima beaucoup les livres et la musique. Sa vie fut très courte.Elle mourut à l’âge de 21 ans de la phtisie. Et voilà le portrait du père du poète. Il s’appella Iouri Petrovitch Lermontov. Il fut militaire, un bon homme. Après la mort de sa femme il quitta à jamais cette propriété et revint à Kropotovo. Après son départ la grand-mère commença à éduquer Michel. Voilà son testament dans lequel le seul héritier fut son petit-fils. Ce testament aurait été réel, si son père n’avait pas éduqué son fils. Et maintenant regardez, s’il vous plaît, le portrait de Michel à l’âge de 2,5-3 ans.A cet âge il resta sans mère. M. Mikhaïlovna aima beaucoup jouer du piano. Voilà ce piano. D’habitude elle prit son petit-fils aux genoux. Devant vous le mouchoir de poche de la mère du poète sur lequel il y eut une broderie de la couronne d’armoiries de Lermontov et le prénom de Marie en français. Dans les premiers dessins du poète « Madame avec le bébé»,«L’enfant tend ses bras vers sa mère », nous sentons la tristesse de sa mère Ce furent les copies. De cette manière il dessina à l’âge de 15-16 ans.
Dans cette chambre on mit l’arbre de Noël pour l’enfant. Les paysants déguisés y allèrent.
Ils chantèrent et dansèrent. Et voilà la table sur laquelle on joua aux cartes. Ce fut le meuble mémorial du 19 siècle.
Dans la maison il y eut 10 chambres. Tous ces objets que vous allez voir ce sont des choses authentiques du siècle passé. Entrons dans la première chambre principale.Elle s’appella « la salle ».
Ici vous voyez les portraits des proches du poète :le portrait de la grand-mère, de sa mère, du père et son portrait. La grand-mère s’appella Elisavéta Alexéévna Arséniéva. Elle fut la plus proche parmi les autres parents. Elle fut la femme sage, eut fermeté de caractère.
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Сette chambre fut aussi principale. Elle destina pour les entretiens sérieux.
Les portraits de Spéranski et Stolypine ornèrent les murs. La grand-mère prit la place souvent près de la fenêtre du salon et regarda son petit-fils. Il aima aller avec les enfans dans la chênaie mener la ronde. Ce fut pendant les fêtes d’ été, par exemple, pendant la Pentecôte. Le meuble dans cette chambre fut en bouleau noir de Carélie. Les toiles «Le paysage avec la chute d’eau» et «Deux natures mortes» ornèrent le salon.
Le salon №2
Слайд 7La salle à manger №3
Passons, s’il vous plaît, dans cette chambre.
Сe fut la salle à manger.Aux murs de la salle à manger se trouvèrent les lithographies sur les sujets de Сaucase. Michel Lermontov fut au Caucase beaucoup de fois. Il ne put pas marcher jusqu` à 3 ans parce qu` il était né de sa mère malade.La grand-mère partit avec son petit-fils pour le Caucase aux eaux minérales. A Tarkhany Michel entendit les récits sur la bataille de Borodino. Le frère cadet de la grand-mère Aphanaci Stolypine fut le participant de cette bataille. Dès l’enfance il connut les pronoms de grands capitaines russes. Voilà leurs portraits. Ce furent : Ermolov, Barklaï de Tolly, Koutouzov. D’habitude on prit le petit déjeuner, le déjeuner, le dîner dans cette chambre. Pour prendre du thé on s’installa dans la chambre spéciale. Elle s’appella la chambre de thé.
Слайд 8La chambre de thé № 4.
Passons, s’il vous plaît, dans cette
chambre. Сe fut la chambre de thé. En 19 siècle ces chambres furent très populaires parmi les propriétaires. L’ameublement dans cette chambre fut dans le goût des maîtres de la maison. Devant vous l’ancien samovar de cuivre argenté. Aux murs nous voyons les toiles des peintres italiens « La tête du viellard, « Le paysage avec les peupliers, » « La Place de Saint-Mars en Venise » Mikhaïl se passionna pour les travaux des peintres italiens, copia leurs toiles lui-même. Il eut du goût pour les toiles de Rafaël, Gvi-de-Reni. Devant vous la vaiselle du siècle passé : les verres, les services à thé et à café en porcelaine.
On invita les copains du même âge et les parents lointains d’Arséniéva. Ilshabitèrent ensemble et firent leurs études à Tarkhany. Il y eut une chambre d’études pour ces enfants.
Слайд 9La salle de classe № 5
Passons, s’il vous plaît, dans cette
salle de classe. Ici nous nous imaginons Lermontov à cette époque-là. Il fut de petite taille, avec la grande tête et avec le visage pâle, il posseda de grands yeux marron. Son charme fut trop fort et plein d’énigmes. A l’âge de 10 ans Mikhaïl sut les langues étrangères : le français, l’allemand.La maîtresse d’allemandе fut Kristina Rémer, la bonne femme et âgé et le maître de français fut Jean Kapé, l’ancien soldat de l’armée de Napoléon.
Sur la table il y eut des livres et des manuels de cette époque-là, l’encyclopédie de mathématiques à la main « Le spectacle du monde » en français et en allemand. Le troisième chapitre d’Eugène Onéguine tint dans ces mains. Sa grand-mère fit le cadeau à son petit-fils « Le livre des louanges », et « le Psautier », où il écrivit ces autographes.
Son passe-temps préféré fut le de ssin. Ce furent les copies de ces aquarelles à l’âge de 12-13 ans. Et ici vous voyez son dessin « Les Cavaliers combattants. » Ce travail fut d’âge mûr. Mikhaïl cira des figures et des tableaux. Au printemps près de la maison seigneuriale on put voir les figures des hommes et des animaux de neige fondue. Ce fut le travail de petit Michel. Dans la bibliothèque il y eut des livres de la lecture de Lermontov quand il était petit enfant. Et maintenant passons dans la chambre suivante, dans la chambre des bonnes.
Слайд 10Ici des bonnes bricolèrent. cousirent, tricotèrent, brodèrent. Le petit Michel entra
souvent dans cette chambre. Les bonnes lui racontèrent les contes russes populaires et chantèrent les chansons. Tout ça refléta plus tard dans les oeuvres de Lermontov. Voici ces objets exposés : les broderies de grains de verre, le gilet et le panneau, le vieux rouet, la jupe de paysanne, les ustensilles de ménage, les chromos.
La chambre des bonnes №6
Et maintenant nous allons monter
l’escalier au premier étage.
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La chambre des enfants №7.
Еn décembre 1835 on donna à
Lermontov le congé pour les affaires de famille. Le 31 décembre Elisavéta Arséniéva le rencontra à Tarkhany. Elle fut contente de son arrivée.
L’arrivée de Mikhaïl anima toutes les chambres à la maison de la grand-mère. Le portrait du travail du peintre de P.E. Zabolotski (1837) donna la présentation quel air avait eu le lieutenant de la garde impériale du régiment de Hussard à cette époque-là.Le peintre M.E. Mélikov garda la description de Lermontov qui ressemblait à la présentation de Zabolotski. « Il fut vêtu en forme de hussard. Ce ne fut ni l’enfant, ni le jeune homme, mais l’homme à la fleur de l’âge, il eut les yeux tristes, mais ardents . Son regard fut amical avec la cordialité». Après la longue séparation avec Tarkhany, Lermontov se trouva dans l’intérieur commode parmi les choses habituelles et aimées dès l’enfance. Dans l’intérieur de la première chambre il y eut deux fauteuils doux et grands en étoffe de soie. Dans la grande armoire il y eut des livres de la lecture du poète et au-dessus du canapé l’un des plus grands et meilleurs travaux pittoresques. « Vue de Caucase près du village « Lioni » et encore deux dessins (en copie) « Trois Troïkas » et l’aquarelle « Manoeuvres au village de Tsar ».La peinture de Lermontov compta 30 travaux à l’huile,51 aquarelles et près de 450 dessins à la plume et au crayon.Devant vous la table sur laquelle il y eut un coffret de noisetier, la pipe à la monture d’or et le porte-cigarette avec les cigarettes. En dedans du couvercle on fut dessiné « Lermontov fut tué par Martynov à Piatigorsk le 15 juillet 1841. Il fut offert par Lermontov à Rémi.
Alexandre Rèmi est le camarade de travail du poète à la garde impériale du régiment de Hussard.
Слайд 12Le cabinet de Lermontov №8.
Sur le grand bureau il y eut
des livres aimés des auteurs russes et occidentaux et parmi eux l’idole Pouchkine. Il adora Pouchkine toute sa vie, surtout l’oeuvre d’Onéguine. Au milieu de la table il y eut un encrier en vue du lion assis. A côté de cela il y eut un sceau de bronze avec les initiales « ML ». L’une de ces lettres vous voyez sur cette table. Elle se fut adressée à Sviatoslav Raévski, l’ami de Lermontov. Lermontov lui annonça de la rencontre avec Varvara Alexandrovna Lopoukhina. Quand il était étudiant, Mikhaïl tomba amoureux de Varvara avec la passion. Le cousin de Lermontov Chan-Guireï se souvint de cela. Il lui consacra beaucoup de poésies et le poème « Démon ». Lermontov peignit encore trois portraits, l’un de ces portraits vous voyez ici. Voici le portrait de son père. Il l’adora malgré sa mort. Et voilà encore le dessin au crayon de Lermontov qui se trouva dans l’album des propriétaires. Solntsev, la figure féminine. On croit que Marie Loveïka a été sa cousine.
Слайд 13La chambre de la grand-mère №9
Nous nous trouvons dans la première
chambre de la grand-mère du poète. Elle s’appella le bureau. Il fut meublé à la fin du XVIII siècle. Sur le secrétaire nous voyons les premières éditions uniques du vivant du poète « Contemporain de notre époque », « Recueil des vers de 1840», «Khadjy- Abrek », furent publiés dans la revue «Bibliothèque pour la lecture en 1835 » et encore les papiers d’affaires. Et voilà l’album de Lermontov avec le portrait de sa grand - mère en jeunesse.En 1828 Elisavéta Alexéévna partit pour Moscou avec le petit-fils et rentra seulement en été 1835 pour continuer à faire le ménage. Elle s’ennuya de son petit-fils. Elle commanda au peintre F.O. Boudkine son grand portrait quand Lermontov était officier. Son portrait est en copie ici. La grand-mère s’intéressa à la santé, à la poésie de son petit-fils et lui écrivit les lettres à Saint-Petersbourg. Elle lut régulièrement ses vers et les crut exellents, incomparables.Passons,s’il vous plaît, dans la deuxième chambre de la grand-mère. Elle s’appella la chambre à coucher.
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La chambre à coucher de la grand-mère №10
Ici il
y eut un meuble d’époque de Сatherine II dans le goût de la maîtresse de la maison : le lit, le fauteuil, la commode. La commode et la toilette, qui appartinrent à la mère du poète. Sur la toilette il y eut un mouchoir de batiste sur lequel on fut écrit en latin « Deo spec mea ». Arséniéva fut une femme réligieuse. Dans sa chambre il y eut des icônes et des tableaux bibliques « Rêve d’Iakov, peintre inconnu du 19 siècle « Mikhaïl- Archange remportant la victoire sur le dragon ». Au coin de la chambre il y eut la plus grande icône « Sauveur qui n’est pas fait de main d’homme. Ce fut la relique familiale sauvetage. Elle pria devant ces icônes. La grand-mère demanda la vie à son petit-fils.
Quand elle avait su de la mort de son petit-fils, elle pria devant cette icône avec les mots : « J’avais pris plusieurs fois pour la vie de mon petit-fils, mais le Dieu ne sauva pas ». Après sa mort elle donna cette icône à l’église de village. Mais quand le musée avait fondé cette icône revint de nouveau dans cette chambre.
Les broderies ornèrent cette chambre. Tout ça fut fait par les mains des gens de la maison. Elle broda elle-même. Mais malheureusement elles ne gardèrent pas en souvenir.
Слайд 15La conclusion
Nous sommes contents de nos résultats du projet. D’abord nous
avons ramassé beaucoup d’ informations, d’illustrations de la vie de Lermontov.On a rencontré avec les guides du musée, ils nous ont aidé à trouver la littérature.Les uns écriviez, faisaient la présentation, d’autres tournaient le film.Nous avons appris beaucoup de mots . On aime le français.Nous avons eu la possibilité de parler français pendant l’excursion dans notre maison seigneuriale.
Слайд 16La littérature
Арзамасцев В.П. «Места, воспетые поэтом». Саратов., 1981.
Бородский Н.Л.
М.Ю. Лермонтов. Библиография, т.1. М., 1945.
Висковатый П.А. М.Ю. Лермонтов. Жизнь и творчество. М., 1989.
Иванова Т.А. Лермонтов в Москве. М., 1979.
Андреевич-Кривич С.А.. Тарханская пора. Саратов., 1976.
Мануйлов В.А. Лермонтов в Тарханах. Пенза., 1949.
Мельникова Т.М. «И дышит непонятная святая прелесть в них…» Рассказы о реликвиях Лермонтовского музея-заповедника «Тарханы». Пенза., 1994.
Мельникова Т.М. Музей-заповедник «Тарханы». - Саратов: Приволж.кн. изд-во (Пенз. отд-ние), 1990.
Методические рекомендации по проведению экскурсий по Барскому дому музея-заповедника «Тарханы».
Фролов П.А. «Лермонтовские Тарханы», - Саратов: Приволж.кн. изд-во (Пенз. отд-ние), 1987.