« La partie optique du microscope se compose d'un oculaire et d'un objectif L'oculaire est une lentille prés de laquelle on applique l'œil; l'objectif se trouve très prés de l'objet. On place l'objet à une distance légèrement supérieure à la distance focale de l'objectif Dans l'espace compris entre l'oculaire et l'objectif se forme une image renversée et grossie de l'objet. Il faut que cette image se situe entre l'oculaire et son foyer,; car l'oculaire joue le rôle de loupe à travers laquelle on examine l'objet. On démontre que le grossissement du microscope est égal au produit des grossissements de l'oculaire et de l'objectif pris séparément (...) Le microscope ne permet pas de discerner les détails d'un objet inférieurs au micromètre. Les détails de l'ordre du millimètre sont discernables à l'œil nu.
Vocabulaires ou terminologies scientifiques ont donné lieu à une multitude d'exégèses, les unes savantes et documentées, d'autres plus spéculatives. La genèse de ces terminologies, leurs propriétés sémantiques, leur stabilité diachronique ou au contraire leur stratification, leur logique taxinomique ont été tour à tour vantées et explorées .
Pourtant, il n'est pas sûr que nos connaissances sur ce domaine soient très précises. Comment, par exemple, reconnaît-on un terme spécialisé ? L'existence des terminologies suppose Ia définition préalable d'un répertoire (Ia langue commune) qui constituerait ainsi une norme de référence : seraient des termes spécialisés les mots qui ne figurent pas dans cette base. Ou bien un mot est connu, ou du moins utilisé avec un sens admis et recensé. Ou bien il semble inconnu. On Ie qualifie alors de néologisme.
Le nouveau département comportait un bureau d’enregistrement des données qui tenait à jour le grand fichier et enregistrait aussi tout changement de propriétaires de chien. Un certificat de décès du chien établit par un vétérinaire agréé était nécessaire pour supprimer définitivement la fiche dudit chien.
Une équipe de ramasseur de crottes avait été mis à l’oeuvre : les crottes étaient systématiquement ramassées, emballées puis envoyées, accompagnées d’une lourde amende, au propriétaire du chien qui avait été identifié grâce à un test ADN.
Tout fonctionnait bien et les enfants pouvaient jouer sur les trottoirs sans craindre de glisser sur une crotte sournoise.
Tout aurait pu en rester là si des extrémistes de "Comme autrefois", fort de leur succès, n’avaient déposé une initiative demandant qu’un système semblable soit appliqué à toute la population afin d’identifier et sanctionner les jeteurs de mégots et les cracheurs de chewing-gum. La récolte des signature est en cours et on saura dans un mois si cette initiative a aboutit.
Les supermarchés rivalisaient d’initiatives les plus diverses pour contenter les assurés. À la COOP, par exemple, des conseillers guidaient les clients vers les étalages. Ils persuadaient certains acheteurs hésitants, dont ils interprétaient l’hésitation comme un début de dépression, de suivre un petit régime fortifiant : un peu de caviar pour se mettre en appétit, une belle entrecôte pour leur tonus et une bonne bouteille de bordeaux pour bien faire passer le tout. Ils encourageaient les maigrichonnes à manger davantage en leur décrivant le plaisir qu’ont les hommes à se raccrocher à quelques petits bourrelets séduisants.
D’autres supermarchés organisaient des dégustations de produits nouveaux afin de susciter la curiosité gustative des clients sans imagination. Bref, le secteur de la distribution alimentaire se portait bien. Par ailleurs, on avait supprimé l’affichage des prix pour ne pas trop culpabiliser les clients.
Les campagnes publicitaires misaient maintenant sur des images de femmes bien
enveloppées et les grands couturiers mettaient en valeur les poitrines débordantes. Bref, les femmes de Rubens avaient retrouvé la cote et les obèses n’encourraient plus les regards réprobateurs des passants.
Mais voilà, à ce régime-là l'assurance nourriture courrait gaillardement à la faillite. Il avait fallu augmenter déjà deux fois les primes d’assurance. Certains parlementaires parlaient d’augmenter de trois points la TVA pour financer ces dépenses d’alimentation. On les accusait alors de faire le jeu des patrons qui s’opposait à voir leur part de cotisation augmenter en prétendant que de nouvelles charges sur le travail conduiraient inéluctablement vers une augmentation du chômage.
Par ailleurs, parmi la population écrasée par des prélèvements toujours plus lourds des impôts directs, de la TVA, de l’assurance maladie, de l’assurance nourriture, des
prélèvements obligatoires pour les caisses de pension, de chômage, d’invalidité, de taxes sur le tabac, sur l’alcool, sur l’essence, de plus en plus de gens peinaient à payer leur cotisation d’assurance nourriture.
Nous commençons à nous inquiéter des possibles modifications du climat qui règle l'ambiance dans laquelle nous évoluons. Des pluies diluviennes, des coups de vents inhabituels, des débordements de rivière toujours plus fréquents, un apparent réchauffement de l'atmosphère, tous ces phénomènes nous semblent sonner comme une sirène d'alarme.
Il est vrai que par ses activités, l'homme modifie l'équilibre naturel de son environnement. Il modifie l'extension des espèces végétales, il fait varier les populations des différentes espèces animales, il modifie la composition chimique des eaux, perturbe le subtil équilibre de l'atmosphère et bouleverse certaines parties des continents au risque de pro-voquer des changements climatiques dont les conséquences sont imprévisibles. Ce ne sont là que les termes habituels de n'importe quel discours écologiste.
Mais comment notre planète ressent-elle ce "chatouillement" ? Reprenons le problème
un peu en arrière. Lorsque la population humaine était limitée sur terre à quelques dizaines de millions d'individus, son intervention sur l'environnement était négligeable.
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